Description
PAPIER D’ARMENIE :
SAVOIR-FAIRE D’UN PRODUIT DE LUXE
La fabrication du plus vieux parfum d’ambiance est artisanale et digne de celle d’un produit de luxe… 6 mois et pas moins de 12 étapes de production sont nécessaires pour obtenir le célèbre petit carnet.
Mireille Schvartz EST L’arrière-petite-fille d’Henri Rivier et perpétue ainsi la tradition familiale.
Située à Montrouge depuis l’origine, Depuis 1885 le processus et le lieu de fabrication du papier d’Arménie est resté le même.
Certains collaborateurs sont fidèles au Papier d’Arménie® depuis 3 générations.
UNE ENTREPRISE FAMILIALE FRANÇAISE ET CENTENAIRE
à l’occasion de son 130e anniversaire, en 2015, Papier d’Arménie® a obtenu le label Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV).
Ce label est une marque de reconnaissance de l’Etat mise en place pour distinguer des entreprises françaises au savoir-faire artisanal et industriel d’excellence.
UNE HISTOIRE D’AUDACE CRÉATIVE ET DE TRANSMISSION
Son associé, le pharmacien Henri Rivier, découvre qu’en faisant dissoudre le benjoin dans de l’alcool à 90° on obtient une odeur persistante. L’ajout de parfum donne un mélange aromatique agréable et tenace. Il ne reste qu’à trouver un support. Ce sera le papier buvard qui absorbe le mélange tout en conservant l’odeur originelle du Benjoin et se consume lentement sans faire de flamme.
Mireille Schvartz perpétue la tradition familiale. Une équipe de 10 personnes respectent scrupuleusement ce savoir-faire unique qui fait le succès de Papier d’Arménie®. Durant UN long pROCESSUS le carnet passera plusieurs contrôles minutieux et rigoureux d’un responsable du laboratoire et dans 6 mains différentes dont certaines comptent jusqu’à 30 ans de maison.
FABRICATION :
Tout commence avec le Styrax officinal : la meilleure résine de benjoin, celle que sécrète l’aliboufier, un arbre du Laos livrée sous forme de « larmes ». Selon un rituel immuable, la résine de benjoin est dissoute dans l’alcool pendant plusieurs semaines. Puis sont ajoutés des extraits de parfums. Cette solution dont la composition reste secrète vient imprégner un papier spécial de type buvard. L’opération est réalisée manuellement, feuille après feuille.
DANS L’AIR DU TEMPS DEPUIS 1885
L’histoire du Papier d’Arménie® débute au XIXe siècle. Lors d’un voyage en Arménie, Auguste Ponsot
remarque que les habitants parfument et désinfectent leurs maisons en faisant brûler du Benjoin. Séduit par cette pratique traditionnelle et écologique, il décide d’importer ce produit en France.
Carnet bleu
Ce parfum naît en 2006 de la rencontre entre Mireille Schvartz et Francis Kurkdjian, créateur-parfumeur de renom. Une édition authentique conçue pour un véritable voyage olfactif. La myrrhe, la sauge, la lavande et le bois de cèdre composent ces senteurs orientalistes.
Carnet tradition (vert)
L’odeur unique du petit papier provient de la résine de Benjoin dont les vertus désinfectantes ont été découvertes par Auguste Ponsot en 1885, autrefois utilisées pour soigner l’asthme, la toux, et rhumes.
Ce papier d’Arménie unique et authentique est une véritable profusion de senteurs et fragrances qui rendent ce papier à brûler une référence incontestable des parfums d’intérieurs.
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